Bataille pour les mines [Concour/Evènement]=> seulement ceux inscrits.

Elessar était resté dans sa tente, seul, pendant que les plus courageux des soldats s'inscrivaient pour deriger les troupes. Après une demi-heure, il sortit récupérer le parpier.

* A interessant. Faramir et Eowyn vont combattre séparémment. Peut être est-ce mieux.*

Tout en lisant la feuille, il levait la tête à chaque nom pour regarder l'homme qui s'était inscris. Ils semblaient tous de puissants guerriers, et aucuns ne semblaient avoir fait le choix au hasard ou sans réfléchir. Heureux de cette réussite, il décida de les appeler pour leur donner connaissance du chemin à suivre. Il rassembla tous les chefs de groupes désigné et engagés dans la tente ou étaitent rassemblés précédemment les rois et seigneurs de Terre du Milieu. Après une heure et demi d'apprentissage, si on peut dire, ils surent tous à la perfection le chemin à suivre. Après mure réflexion, les seigneurs décidèrent l'organisation suivante :

°Faramir commanderait les Dùnedains qu'il avait avec lui ainsi que quelques soldats du Gonor, Eowyn guiderait les Eorlingas et, Jor'ranr s'occuperait d'une partie des Gondoriens, Laïka du reste, et Nolowê commanderait dans les mines les soldats recrutés ne faisant pas partis d'une armée. Et un nain, qu'Elessar ne connaissait pas, montrerait le chemin aux nains. °

Lorsque toutes les troupes furent prêtes à combattre, il prit la tête, et s'avança, un miliers d'homme sur ses talons, vers les anciennes portes de pierres détruites. Le jeune roi, se retourna et regarda la surface trouble et lisse du lac où dormait certainement le guetteur de l'eau. Il regarda Faramir, et s'approcha de lui après avoir déclarer aux hommes :

"Soldats, placez-vous. La créature attaquera bientot. Placez-vous !"

S'approchant toujours de son ami, il lui dis à bas :

"Mon ami, placez vos archers sur les hauteurs, assez loins du monstres et de son lac, je ne voudrais pas perdre plus de guerriers qu'il n'en faudrait."

Puis, lorsque toutes les troupes furent prêtes, ils leur dis de placez un tissu sur leur visage, pour les protéger de l'haleine du monstre. Prant une grosse pierre, il la jeta dans l'eau calme du lac qui se mit à vibrer. Le calme revint quelques secondes plus tard. Elessar demanda à quelques guerriers de faire de même, alors que Jor'ranr s'approchait.

"Mon seigneur, pourquoi le réveiller alors que nous pourrions passer sans nous faire prenre? Pourquoi tuer cette bête?"

"Parce que orsque nous tournerions le dos à cette créature elle jetterais ses tentacules à nos coups. J'ai vu comment elle fonctionnais, elle sens lorsque les portes s'ouvrent. Elle les ferais sé='écrouler si nous les ouvrions tout de suite, et je ne comptes pas refaire le travail inutilement."

"Bien seigneur, nous ferons selon vos désirs."

Soudain, un tremblement, une vague traversa le lac, et un cri sourd et rauque retentit. Le monstre était réveillé et la bataille pouvait commencer !

Le roi avait informé les Chefs de Groupes de l'organisation de la bataille. Laïka avait sous son commandement la moitié des soldats Gondoriens et la jeune Elfe s'inquiétait. Lui obéirait-ils ?
A présent, ils étaient devant les portes de la mine et attendaient que le monstre du lac apparaisse pour pouvoir l'anéantir et entrer sans encombres. Les archers étaient en position dans les hauteurs, prêt à tirer. Le roi attrapa une pierre et la lança. Un bruit sourd s'échappa de l'eau lorsque la pierre en pénétra la surface. D'autres soldats en firent autant et le monstre jailli. Laïka ne s'attendait pas à se trouver face à un calamar géant d'environ 10 mètres de haut. La jeune Elfe laissa échapper un cris de dégoût devant toutes ses tentacules et sa couleur gris vert. Les archers des autres bataillons tirèrent.

Tirez ! hurla la jeune Elfe aux archers sous ses ordres.

Les flèches filèrent dans l'air et allèrent se ficher sur tout le corps de la bête, mais le combat ne s'arrêterait pas là. La bête attrapa quelques soldats et ceux ci atterrirent directement dans son estomac. Une deuxième volée de flèche passa près de Laïka et celle ci eut juste le temps de s'écarter pour ne pas être touché. Elle se jeta à terre et un homme accoura près d'elle.

Est-ce que ça va ?

Oui, oui, retournez à votre poste.

La jeune Elfe avait répondu sèchement, mais elle ne voulait pas mettre la vie de ses soldats entre entre parenthèses pour se sauver elle-même. Ils étaient tous dans le même bateau et peut importait leur race ni même leur rang. La Calamar continuait d'envoyer ses tentacules dans touts les sens. Laïka en vit une se diriger droit sur elle, la jeune elfe dégaina son épée et l'abatit sur la tentacule de la bête.
Puis elle regarda autour d'elle, tout le monde se battait contre ce monstre, comme jailli des entrailles de la terre.

Conformément aux ordres d'Elessar, les guerriers de Faramir s'étaient approchés tout doucement du lac gardant l'entrée de la Moria. Cet étang noir et sale fut d'emblée antipathique à l'Intendant. C'était calme, bien trop calme. Quelque-chose se terrait au fond. par ailleurs, il n'y avait pas le moindre poison, pas la moindre grenouille, aucun de ces animaux que l'on retrouve en temps normal aux alentorus d'un étang.

Le dùnedains semblaient partager cette opinion, et n'avançaient qu'avec une peur dissimulée. Conformément aux ordres donnés par Faramir, ils encerclèrent le lac et se cachèrent dans les fourés. L'ordre de tirer devait venir de leur chef. Faramir lui-meme s'installa avec Damrod, un de ses plus anciens compagnons, derrière une petit buisson de houx. les soldats du Gondor, quand à eux, restèrent en arrière pour intervenir au moment venu.

Soudain, une petite bulle d'air remonta à la surface de l'eau, brisant le silence. de grosses gouttes de sueurs perlaient sur le front de Damrod, et Faramir chercha à rassurer son compagnon:

-Ne perdez pas votre calme. Je n'ai jamais rencontré cette créature, mais je ne la croit pas assez téméraire pour sortir de l'eau et affronter deux cents flèches.

-A supposer qu'elle nous ai repéré...

C'est alors que Elessar surgit derrière les compagnons. Faramir fut à la fois surpris de la brusque apparition de son roi, et rassuré de savoir ce grand guerrier à ses cotés. Mais ce dernier n'apportait pas des bonnes nouvelles:

"Soldats, placez-vous. La créature attaquera bientot. Placez-vous !"

Obéissant aux ordres d'Elessar, Faramir leva la main, et les rodeurs bandèrent leurs arcs en direction de l'endroit où avait éclaté la bulle. L'Intendant croyait avoir un peu de temps, mais Elessar précisa:

"Mon ami, placez vos archers sur les hauteurs, assez loins du monstres et de son lac, je ne voudrais pas perdre plus de guerriers qu'il n'en faudrait."

-Certes, mon roi, mais mes archers sont déjà placés en hauteur. Quand à moi, je vais reculer de ce pas.

Suivi de Damrod, Faramir recula silencieusement et se plaça derière un petit talus. Obéissant au conseil d'Elessar, il s'empressa de couvrir son visage d'un léger voile, pour protéger ses voies respiratoires de l'odeur fétide de la Bête.

Puis soudain, alors que Faramir restait concentré sur l'eau noire, une créature difforme et gigantesque émergea de l'onde:

Spoiler:

Le rodeurs restèrent pétrifiés par cette apparition. Faramir lui-meme ne put masquer un regard répgné par ce monstre à la peau blafarde, aux tentacules visqueuses, au visage presque humain et au regard haineux. Il devait s'agir d'une engeance de Morgoth ancienne, très ancienne. l'Intendant comprit rapidement pourquoi la Communauté de l'Anneau s'était retrouvée enfermée dans la Moria. Les doigts de Damrod tremblaient, l'empechant d'actionner son arc. Seul Faramir, qui avait déjà affronté le leader des Nazgul à Osgiliath, garda quelque peu son sang-froid. Il réussit en effet à tirer une flèche en direction de la créature. Dans un singulier sifflement, la flèche se ficha dans la peau visqueuse de la créature. Cette dernière poussa un grognement courroucé, plus proche de l'animal que de l'homme et, d'un geste rapide de la tentacule, brisa le trait.

La bataille de la Moria venait de commencer.

A présent, le Guetteur était très en colère. De l'une de ses tentacules, il arracha du sol un vieux chêne, qu'il balança vers les buissons où s'étaient tapis Faramir et Damrod. Le fils de Denethor parvint à s'écarter à temps, mais le pauvre Damrod fut emporté par l'arbre. Il s'écrasa finalement au sol, avec une coté casé et le chêne sur lui. faramir mourait d'envie d'aider son compagnon, mais il ne pouvait abandonner ses hommes. Il cria a lors à l'adresse des rodeurs:

-TIRREZ !!!

Moins d'une seconde plus tard, deux cents flèches quasiment tirées en meme temps, fendirent l'air. Le Guetteur, plus rapide que l'on le pensait, parvint à briser quelques flèches en plein vol de ses tentacules. Mais malgré tout, une quarantaine de traits bien ajustés vinrent se fixer dans sa peau. Cependant, au grand désespoir de Faramir, la Bete ne semblait pas vouloir abandonner la partie, bien au contraire. Cinq tentacules supplémentaires surgirent de l'eau et, balayant les arbres, se saisirent violemment de deux archers. En un éclair, sans pouvoir pouser un cri, les malheureux fut précipités dans l'eau, d'où ils n'avaient aucune chance d'échapper au Guetteur. Fou de rage, un soldat de Gondor se saisit de sa lance et, dans une fatale témérité, chargea la créature pour la transpercer. Mais cette dernière n'eut qu'à se saisir d'un rocher pour l'envoyer sur le soldat, qui mourut écrasé au milieu de son élan...

Les archers de Faramir avaient tiré et le monstre balayait les berges du lac à grands coups de tentacules visqueuses. Les arbres étaient arrachés et beaucoup de soldats avaient vu la fin de leur vie dans le gosier de la bête. Le bataillon de Laïka, sous ordre de celle ci, avait reculé et certains d'entre eux, à présent étaient collés contre les parois de granit de la merveilleuse citée des nains. En revanche, un soldat plus courageux et téméraire que les autres était resté auprès de la jeune Elfe. Il ne cessait de la regarder et semblait être éblouit de voir une femme se battre ainsi, presque sans craintes contres ce monstre au regard haineux.
Soudain, une tentacule s'abattit entre les deux soldats et ils durent se jeter sur le côté pour ne pas être écrasés par la bête. Laïka se réceptionna sur les coudes et un filet de sang coula jusqu'a sa main. Le soldat en revanche avait la jambe écrasé par le membre de la bête. Laïka encocha deux flèches et les tira à bout portant dans la chair de l'animal. Celui ci poussa un grognement à faire vibrer la terre, mais retira sa tentacule. Aussitôt, Laïka aida le soldat à se relever et elle l'entraîna, chancelant sous le poids de l'homme. Elle le déposa près d'un buisson où il put s'asseoir, après lui avoir donné un peu de sa boisson Elfique, la jeune fille retourna à son post, prête à combattre à nouveau.
A nouveau les bataillons alliés tirent et Laïka en commanda autant.
Une nouvelle fois, les flèches fendirent l'air et atteignirent cette fois ci la bête à ta tête. Le monstre secoua violemment la tête pour se défaire des armes, mais celles ci étaient profondément enfoncées dans sa chair.

Tirez ! hurla une nouvelle fois.

Les attaquent affluèrent, mais la bête était toujours sur pied. mais à présent, le Calamar géant, n'était plus uniquement sur la défensive, il se saisit d'un gros roché et l'envoya valser sur le bataillon de Faramir, puis il recommença, mais cette fois sur le bataillon de la jeune Elfe.

Ecartez-vous ! s'égosilla-t-elle, mais la pierre atteint ses soldats, en tuant bon nombres.

Laïka étouffait, la nausée s'emparait d'elle et la jeune fille retira le petit voile qui lui couvrait les voix respiratoires. Aussitôt, une odeur pestilentielle parvint à ses narines sensibles et la jeune fille eu juste le temps de se pencher sur le côté pour vomir.
Après quelques instant, Laïka reprit ses esprits et reposa son voile sur ses lèvres et son nez. Elle encocha un flèche puis elle tira. La flèche alla se ficher dans l’œil de la bête, celle ci poussa un terrible hurlement, mais Laïka ne se démonta pas, elle visa la tête à de nombreuses reprises avant de commander à ses soldats de viser la buste de la bête.
Les attaques affluèrent, mais la bête résistait encore et toujours.

* A ce rythme là, je n'aurais plus d'hommes d'ici quelques minutes*

La jeune fille avait bien une idée, mais l'attaque était risquée.

Elessar venait à peine de jeter une pierre dans le lac, qu’un bruit strident en ressorti sans attendre…Eowyn qui avait eu pour mission de guider les Eorlingas, fit mettre en hauteur ses meilleurs archers.
Les autres, les soldats, avaient été placés au côté des Gondoriens ainsi que des autres guerriers venant de son pays…
Ses ordres étaient simples : viser la tête de la créature afin de la faire tomber.
Après quelques minutes, lorsque tous firent face à cette hideuse bête plus grande encore qu’un arbre, la princesse d’Ithilien ordonna à ses archers de tirer. Eowyn vit au même instant son mari éviter de justesse l’arbre que lui avait lancé le calamar géant…
Un peu plus loin, adressant son regard vers la droite, elle aperçu la jeune femme qui était aussi dans la tente lorsque celle-ci s’y était présentée.
La jeune femme que tous nommait Laïka avait vraisemblablement un problème. Dans un souffle coupé, Eowyn décida de rompre tous les interdits et elle voulu aider cette femme.
S’adressant alors au capitaine qui commandait les archers, elle lui dit d’un ton sec et détaché :

« Restez ici ! Ne bougez surtout pas, la créature pourrait bouger et vous voir… Ne cessez de tirer sous aucune raisons… »

Tout en finissant de parler, Eowyn s’élança vers le cœur de la bataille, où se trouvait le monstre…Elle vit alors son mari se relever et elle fut fière d’avoir un mari tel que lui.
Elle insista puis finit enfin par détourner son regard ne sachant s’il l’avait remarqué…Effectivement tous deux avaient décidé de combattre séparément de peur d’être perturbés en pensant à ce qu’il pouvait leur arriver.
Revenant enfin à la réalité, la princesse se dirigea vers Laïka, puis elle commença à parler pendant que celle-ci s’était figée :

« Vous allez bien ? Vous n’êtes pas blessée ? »

Maintenant, le monstre venait d’avancer et se dirigeait vers la rive où tous les espoirs des hommes était placés…Il ne fallait surtout pas qu’elle entre dans les mines sinon la quête de reprendre le Cavenain serait perdue.
Plongeant ensuite son regard dans celui de la jeune elfe, Eowyn pensa à une idée qui semblait être la même que Laïka : Si tous s’unissait pour essayer de couper les tentacules du monstre, alors il ne pourrait plus avancer et il serait plus simple aux archers de pouvoir le tuer puisque que celui-ci serait immobilisé…
Les flèches continuaient de volées au dessus de leur tête, quand Eowyn se précipita vers le monstre pour essayer de lui couper un de ses nombreux tentacules. Elle fut surprise quand elle aperçu Laïka en faire de même.
Après un court instant elles furent rejointes par tous les soldats encore capables de se battre. Parmi ceux-ci, elle put reconnaître le visage du roi Elessar, de Faramir et de nombreux de ses soldats…
Se retournant ensuite derrière elle, elle aperçu le capitaine auquel elle avait ordonné de rester en hauteur.
Avant même qu’elle ne puisse ouvrir la bouche il s’empressa d’ajouter :

« Ne dites rien je vous en supplie ! Il est vrai que vous m’aviez confié la garde des archers, mais il est hors de question de vous laissez mourir sans n’avoir rien fait…»

Eowyn lui coupant la parole finit par rétorquer avec sévérité :

« Vous avez tout de même désobéi à mes ordres…Mais ce n’est pas le moment pour discuter de ça. Si vous y tenez vraiment restez ici, sinon allez rejoindre votre place auprès des archers. »

Ne sachant ce que le capitaine avait décidé, la princesse reparti combattre l’hideuse créature…

La bataille s'étirait trop. Les hommes commençaient à s'épuiser et à se lasser, le visage recouvert de sueurs. Mais surtout, la peur que leur inspirait l'invincibilité du Guetteur commençait à les décourager, Faramir le lisant dans leurs yeux. Lui-meme constatait avec effroi qu'il n'avait plus la meme ardeur qu'au début du combat. Il est vrai que, malgré les multiples flèches filant de toutes parts, le monstre continuait toujours de se battre avec énergie, renversant de ses tentacules les malheureux rodeurs qui passaient trop près de lui, ou les emportants dans les euax noires du lac. faramir frémit à l'idée de subir ce sort, et songea à Eowyn, sa chère épouse, qui se retrouvait au milieu de ce combat atroce. A présent, il regrettait de l'avoir accepté dans la campagne.

Faramir comprenait qu'il fallait en finir. Profitant d'un moment de relachemùent de la Bete, il se dressa soudain et cria à un groupe d'hommes cachés derrière les buissons:

-Allez-y, tirez !

Aussitot, quatres dùnedains de Gondor sortirent soudainement des buissons, et lancèrent des piques métalliques vers la créature. Toutefois, il ne s'agissait pas véritablement de piques, mais de harpons, reliés avec la corde la plus solide. Les harpons se fichèrent dans la peau visqueuse de la bete, qui ne sembla pas y preter attention. Mais derrière les buissons, une centaine d'hommes se mirent soudain à tirer violemment sur ces corde. Le Guetteur de l'Eau se débattit comme un diable, mais il commençait à etre tiré hors du lac, et était à présent à la mercie des guerriers. Faramir avait depuis longtemps préparé ce piège, mais les circonstances du combat l'avaient empeché de le mettre à exécution.

-Il est à découvert. Achevez-le !

Donnant l'exemple, l'Intendant de Gondor se précipita vers la tete du monstre, tranchant une tentacule qui lui barrait la route. D'autres soldats en firent de meme, et seuls deux d'entre eux furent balayés par le Guetteur. Le combat final s'annonçait...

La bataille faisait rage autour d'elle, mais Laïka se sentait extérieur à tout ça. Pourquoi était-elle ici ? Elle se battait pour les nains, êtres qui nourrissaient une haine sans mesure contre les Elfes. Et pourtant, notre jeune Elfe était là, entourée d'hommes près à se battre et à mourir pour gagner la moindre partielle de terrain. Laïka ne savait non plus depuis combien de temps le combat durait. Une heure ? Deux ? Peut importait en réalité, mais les hommes commençaient à se lasser et à voir leur vies défiler devant eux. Ils avaient peur. Laïka, elle était stoïque face au danger. Depuis sa tendre enfance, la jeune Elfe avait été élevée avec tes principes très stricts. Si un homme n'avait pas peur de la mort alors il ne lui arriverait rien. Malgré touts ses efforts, Laïka savait que c'était difficile... Elle avait tant perdu durant son immortalité. Soudain, une tentacule jailli à nouveau près d'elle et la frappa en plein visage. Tout est soudain devenue noir et Laïka s'est effondrée. Dans le néant, la jeune Elfe s'attendait à sentir sa tête heurté le sol, mais rien. Aucun douleur, hormis celle de son oreille gauche. Elle essaya d'ouvrir les paupières, mais celles ci refusèrent d'obéir. Puis la jeune combattante sombra à nouveau dans le tumulte de ses souvenirs.

- Je t'aime !
- Moi aussi, mais je dois y aller. Mon père me cherche, s’il me sait avec toi, je risque gros !
- Je sais, mais quand te reverrais-je ?
- Ce soir, près de la rivière. Attends moi la bas, je ferais mon possible... Mais attention, personne ne doit te voir.
- J'y serais Laïka, j'y serais ! Je t'aime

Le jeune homme déposa ses douces lèvres sur celle de la jeune fille. Il passa sa main dans les fin cheveux de l'Elfe et l'attira contre son corps musclé. Ils ne s'étaient pas vu depuis longtemps, et ils seraient bientôt à nouveau séparé. Laïka s'écarta de quelques centimètres et fit glisser ses lèvres le long de la mâchoire du jeune homme. Elle voulait prolonger ce moment, mais le jeune homme la prit de cours.

- Promets-moi, que quoi qu'il arrive, je resterais dans ton cœur.
- Je te le promets Layan ! Tu as ma vie et mon cœur. Pourquoi n'aurais tu pas ma parole ? !
- Je ne sais pas, mais tout nous sépare ! Si jamais ton père découvrait la vérité, que dirait-il ?
- Il n'a pas son mot à dire ! Je ne suis plus une enfant, je suis responsable de mes actes.

Laïka posa un doux baisé sur les lèvres de Layan. Elle posa ses mains sur les cheveux de son aimé. Elle étudia minutieusement touts les traits du jeune homme, bien qu'elle les connaissent déjà par cœur. Sa main dessina le contour de ses lèvres puis de sa mâchoire et arriva enfin à ses oreilles. Le jeune homme avait lâché ses cheveux et ceux-ci flottaient sur ses épaules. Laïka dessina le contour de l'oreille de Layan et encore une fois, elle fut surprise de constater qu’elle n'était pas pointu. Et pour cause, Layan était un humain, et c'était bien là le problème. Ils ne pouvaient pas s'aimer. La jeune Elfe l'embrassa à nouveau, mais cette étreinte amoureuse et passionnée fut interrompu par un bruit de pas venant du corridor adjacent. Laïka l'embrassa encore une fois et murmura:

- A ce soir, près de la rivière. Je t'aime !

Puis, sans lui laisser le temps de répliquer, elle est partie à la rencontre de l'inconnue présent non loin d'eux. Layan aurait assez de temps pour s"échapper.

Une violente douleur ramena Laïka a moment présent. Une nouvelle tentacule s'était abattu sur elle et pourtant, elle était assise contre un arbre. Un jeune homme était près d'elle. Elle le détailla un moment, il ressemblait à Layan.

- Layan ? Souffla-t-elle
- Je suis désolé, je ne connais pas de Layan. Mon nom est Goh...

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase, le calamar avait lancé une grosse pierre et celle ci, emportée par son élan venait de faucher le jeune homme. Laïka sombra à nouveau.

A présent, Laïka courait. Il fallait qu'elle arrive avant eux ! Elle ne pouvait pas le laisser mourir ! Elle l'aimait trop pour vivre sans lui ! La jeune Elfe enjamba les branches, sauta dans l'eau de la rivière. En quelques mouvements de bras, elle était sur l'autre rive. Elle se hissa hors de l'eau et recommença sa course. Derrière elle, des jurons semblaient s'échapper des buissons. Ses poursuivants la rattrapaient. Soudain, elle trébucha et sentit le sol se dérober sous ses pieds, mais elle ne s'affala pas à terre comme prévu. Des mains l'avaient rattrapé à quelques millimètres de la terre... Layan

- Toujours là au bon moment, n'est ce pas ?
- Toujours... Viens filons d'ici, ils me cherchent.

Le jeune homme aida son amour à se relever et couru avec elle. Ils débouchèrent dans une clairière. Ils étaient à découverts et c'était un très mauvaise idée.
Laïka regarda le jeune homme

- Caches toi !
- Non !
- C'est un ordre !
- Non !
- Layan ! Ils te tueront s’ils savent !
- Ca m'est égal ! Je reste !
- Non !
- Laïka, je t'aime et je reste !
- Tu vas te faire tuer !
- Je réfère ça plutôt que te laisser seule ici avec ses brutes !
- Non, je t'en supplie ! Va t-en !
- C'est hors de ques...

Une flèche se ficha dans le torse de Layan, laissant la suite de la phrase dans sa gorge. Il s'effondra à terre.

- NOOOOOON !

Laïka se précipita près de lui ! Il était toujours là conscient, mais il allait mourir lui-même le savait.

- Laïka, souffla-t-il en lui prenant la main
- Je suis là, je suis là
- Ma belle, je vais mourir ! Je sens la mort me prendre.
- Non, ne dis pas ça ! Je t'aime.

Layan détourna la tête

- Regardes moi ! Layan ! REGARDES MOI !
- A dieux ! Je t'aime
- Moi aussi

Laïka se baissa et posa ses douces lèvres sur celle du jeune homme. Il serra ses bras autour de la taille de la jeune fille et dans une dernière étreinte, la mort s'empara de lui. Laïka resta quelques instants complètement tétanisée devant le corps de l'homme qui avait partagé secrètement sa vie pendant presque 5 ans. Soudain, elle sentit une lame se glisser sous son coup... les assassins de Layan. Une homme se plaça devant elle et posa le pied sur le torse du jeune homme étendu au sol. En une fraction de seconde, le corps de Laïka se contracta et chargea. Elle envoya un coup de pied à l'homme qui la tenait et celui ci parti valdinguer plus loin. La jeune Elfe se rua sur l'autre et ils s'écrasèrent au sol.

- Ne le touches pas ! Siffla la jeune fille.

Puis, sans y penser, elle enfonça son poignard dans la gorge de l'homme, lui retirant la vie. Laïka se releva en un bond et se jeta sur l'autre homme. Elle lui attrapa les deux mains mais il était plus résistant que l'autre. Il la fit tomber sur lui et touts deux furent entraînés dans un rouler bouler sans fin. L'homme se défit de l'emprise de la jeune Elfe et posa ses mains sur son cou, près à l'étrangler. Laïka voyait la fin de sa vie arriver, mais l'homme éclata de rire.

- Hahahahaha ! Tu es vraiment aussi surprenante que ton père me l'avait dis ! Mais de la à te mettre en danger pour un humain, c'est pitoyable.
- Gardes ton venin !
- Bref, maintenant, c'est dommage, je vais devoir te tue. Tu as tué mon ami. Une vie pour une vie ! C'est bête, tu étais censée devenir ma femme.
- Une vie pour une vie Layan vaux mieux que ton vulgaire ami. Moi ta femme ? Haha, très drôle. Mai désolée de te décevoir.

Elle enfonça sa lame dans le cœur de l'homme et le fit rouler à terre.

Laïka hurla et se réveilla. Où était-elle ? Que c'était-il passé ?

A la suite de Faramir, c'était plusieurs dizaines de soldats du Gondor, en armure complète, et de Rodeurs de l'Ithilien qui s'étaient précipités sur la créature vulnérable. On comptait aussi quelques elfes ainsi qu'une douzaine de nains menés par Dùrin d'Erebor, le fils cadet du Roi sous la Montagne, un valeureux guerrier à qui devait revenir se lon la légende le trone de Khazad-Dum. Tous ces soldats semblaient animé d'une rage mortelle contre le monstre qui les avait tenu en échec durant des heures et massacré nombre des leurs. Faramir ne put qu'etre enthousiasmé par cette vision. il le sentait, la fin de la Bataille était proche...

Il fallait en finir. L'Intendant de Gondor évita un coup de tentacule du Guetteur de l'Eau, qui faucha en revanche deux rodeurs malchanceux. N'écoutant pas les cris des malheureux qui s'écrasaient au loin, faramir brandit bien haut sa bonne épée. A présent, il était près de la gueule de la Bete. Sans hésiter, il abbatit sa lame tandis que le monstre tentait vainement de l'écarter:

-Meurs par ma lame, immonde serviteurs des ténèbres !

Le coup s'abbatit, et fut violent. Il perça la machoire du Guetteur, l'entaillant fortemement et détruisant nombre d'artères. A ce moment précis, la voix de damrod se fit entendre depuis les fourés:

-Feu !!

Aussitot, une volée de flèche fendit l'air et se plantèrent dans le corps visqueux du guetteur. C'étaient d'autres rodeurs de l'Ithilien et archers de gondor qui, rassemblés par le fidèle lieutenant de Faramir, donnaient le coup de grace au monstre. Tous les traits touchèrent au but, et l'ardeur des combattants redoubla. Quelques-uns déjà avaient atteint le Guetteur, et transperçaient avec cris de rages ses tentacules.

Mais la douleur du coup de Faramir, conjugué à celle des flèches, acheva d'exaspérer le Guetteur. Une rage froide prit soudain posséssion de la vile créature, et elle se ressaisit. D'un coup de tentacule précis et violent, elle envoya voler Faramir, qui s'écrasa durement sur le sable de la plage.

Puis ce fut la tuerie. Avec une violence inouie, le Guetteur de l'Eau balayait les imprudents trops surs de leur victoire qui s'étaient attaqués à lui. D'un coup, il précipita une dizaine de soldats du Gondor dans l'Eau Noire du lac, où ils coulèrent rapidement du fait de leur lourde armure. Puis il brisa les rochers soutenant la paroi au-dessus du lac, et cette dernière s'effondra dans un bruit sourd, entrainant dans sa chute la vingtaine de Rodeurs de l'Ithilien qui s'y étaient posté pour tirer. Les guerriers de la plage ne couraient plus au combat: ils demeuraient figés de peur, incapable de reculer, incapable d'avancer, et nomre d'entre eux tombaient sous les coups du monstre. Seuls Dùrin et ses nains continuaient fièrement de se battre. Quand Faramir se releva, il ne put qu'apercevoir avec horreur le carnage en cours. Alors une profonde rage le saisit, et malgré ses nombreuses blessures, il s'élança de nouveau au combat. Il réussit à trancher l'une des tentacules du Guetteur, mais la créature furieuse parvint à saisir l'Intendant de Gondor et le souleva dans les airs. faramir était en bien facheuse posture

La bataille faisait rage. Les hommes les plus courageux continuaient l’assaut contre le monstre tandis que d’autres s’étaient réfugiés derrière un talus de pierre. Les flèches volaient de toute part et les soldats commençaient à faiblir…
Les yeux dans le vague, Eowyn semblait ne plus prêter attention à ce qui se passait autour d’elle…Tournant la tête à gauche et à droite, elle ne voyait que les corps des fantassins du roi gisant sur le sol. S’efforçant de resté concentré sur la bataille, elle repartit au combat…Mais à peine avait t-elle fait un pas qu’elle découvrit étalé sur le sol une jeune femme. Celle-ci semblait complètement déconnectée du monde qui l’entourait, et elle marmonnait des choses incompréhensibles…L’emmenant loin du combat, Eowyn aida la femme à s’appuyé contre le mur…Celle-ci revint soudain à la réalité puis lui demanda ce qui c’était passé pendant qu’elle s’était évanouie. Le visage d’Eowyn, qui d’habitude était dur et froid, changea soudain pour laisser place à une expression de douleur…Comme si elle avait été blessée. En réalité, la jeune princesse venait d’apercevoir son mari élever au dessus du lac, prit entre les tentacules de l’immonde bête…
Se retournant vers la jeune femme, Elle lui ordonna avec fermeté:

« Restée ici !! »

Puis s’élançant vers un soldat de l’Ithilien qui tentait en vain d’arrêter la course de la bête, elle ajouta d’un ton suppliant :

« Si vous aimez votre Intendant, faites ce que je vous dis : Attirez ce monstre près de la grotte mais ne le faite pas entrer !... »

Le soldat n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche qu’Eowyn était déjà partis rejoindre les archers postés en hauteur. Elle fit signe au soldat d’attirer le monstre puis quand celui-ci se trouva assez près pour qu’elle puisse sauter, elle ordonna à ses archers d’envoyer un volée de flèches. Se mettant sur le bord de la falaise, elle prit son élan puis s’élança. Elle tomba par chance sur un tentacule à coté duquel l’immonde bête retenait Faramir prisonnier…Prenant ainsi sa lourde épée, la jeune femme entaillât le tentacule, qui laissa tomber Faramir sur le sol. Son mari ne se releva pas tout de suite et celle-ci craignit pour sa vie, mais hélas une douleur à la nuque empêcha Eowyn de partir, la laissant ainsi tomber sur le sol, totalement inconsciente…

Laïka se releva, la bataille fesait rage autour d'elle. Un bouffé d'adrénaline monta en elle et la jeune elfe chargea. Elle savait qu'elle allait mourire, c'était son ultime bataille, mais elel voulait que les soldats puissent combattrent dans les mines. Laïka coura jusqu'aux tentacules du monstre en trancha 1,2,3,4,5 puis grimpa sur l'une d'elle. Maintenant elle se trouvait à 3 mètres du sol. La jeuen elfe banda son arc et une flèche se fichea dans le crâne du monstre. Le ang de celui ci ne fit qu'un tour et il ejecta la combattante qui s'éffondra sur le sol. Soudain, un flèche la cloua sur le sol. La flèche d'un soldat avait déviée sur la paroie et avait atteint Laïka au coeur. A présent, elle avait froid et sa vue se brouillait. Elle sentit une présence près d'elle, mais ne parvint pas à savoir si elle était réelle ou non. Un main se saisit de la sienne et l'accompagna dans la mort. Elle n'était pas seule, quelqu'un était près d'elle et une autre personne l'attendait su l'autre rive. Layan ... Il était maintenant accessible. Elle allait le voir pour la première fois depuis 20 ans. Quelques secondes dans une vie d'Elfe, mais tellement plus quand on sait qu'il est mort pour vous sauver. La mort accueilli Laïka dans ses bras froid et la jeune Elfe sentit la vie la quitter. Elle murmura une dernière fois, dans un dernier souffle

"Layan, je t'aime ... attend moi"

Sa tête roula sur le sol. Une main tenait toujours la sienne, mais elle ne voulait pas revenir. S'en était fini

[Je me retire de l'évèneent et du Fow. Bonne chance à tous !]

Le Roi du Gondor fonçait à présent vers le Monstre, uneétrange impression de nostalgie dans le regard, et commença seul à taillader de coups le calamar qui semblait avoir gagner en rage depuis l'assaut des archers. Des tentacules énormes gisaient à terre, tandis que les soldats d'Elessar et des autres seigneurs de la Terre du Milieu combattaient la créature. e jeune roi feintait les tentacules du monstres, puis frappait de toutes ses forces les membres musclés qui écrasait toout sur leur passage. Il lui en avait hoté quatre que le monstee se mis dans une rage folle et commença à monter directement à l'assaut des chevaliers de Gondor et du Rohan. Andùril miroitait au soleil d'été, dans le poing du Roi, qui continuait encore et encore à asséner la lame sur le corp immense de l'ennemi, qui faiblissait, il le sentait. Chaque crps de soldat qui tombait sur la rive du lac donait plus de déterlination à notre Roi, et il ne s'arrétta que pour apercevoir un instant Faramir, son ami, à trois mètres du soleil, attrapé pas le Guetteur. Il eut tout juste e temps de voir Eowyn voler à son secours dans un élan de peur, qu'un autre tentacules tentait encore de l'assomer. Il se baissa, se releva rapiedemen alors le long morceau du monstre, qui semblait plus gros que tout les autres, passait à son côté pour retourer écraser des hommes de l'autres côté du champ de bataille. Les flèches usait mais le monstre n'en avait cure et continuait de se battre comme un loup enragé. S'arréttant un second instant de frapper, Elessar se rendit compte que le calamr était désormais presque totalement sortit de son lac, et le Roi du Gondor se trouvait en face de sa gueule immonde. Elessar replaça le bout de tissu sur son nez pouyr ne pas être assomer par l'odeur fétique que dégageit la gueule monstrueuse de la créature. N'écoutant que son courage et son désir d'en finir, il fonça droit sur ce qui semblait être la tête du monstre, et planta sa lame livide de sang dans le crâne de l'ennemi, sans se soucier des crocs immense qui tentait de le haper. Un de ceux ci lui trancha la jambe au dessus du genou, mais la bête sursauta un instant, alors qu'une flèche venait de se ficher dans le même trou qu'avait fait le Roi dans le crâne du Guetteur. Les tentacules restante du monstre, qui était encore un bon nombres, s'écroulèrent sur le sol dan un dernier élan, ouis tout le corp de l'immonde créature s'affala sur la rive de soon lac, sans vie.

Le Roi reprit ses esprit, sentant la douleur de son genou le réveiller, et s'exprima haut et fort :

"Le Guetteur de l'eau n'est plus. La bataille dans les mines aura donc bientot commencer. Soignez les blessés et préparez vous, la noirceur des mines nous engloutira dans peu de temps."

Le Roi, ayant appris beaucoup de la médecine elfique, s'employa sans vergogne à remettre sur pieds les blessés, mais en vie certain trop gravement abimé sombrer dans ses bras. Il s'avança enfin vers l'elfe qui était venus leur prêter sa lame, et il lui serras la main et lui pris le pou. Le coeur était faible, la flèche l'avait transpercer, la mort s'était épris de la jeune guérrière, qui s'en allait au delà des Terres du Milieu :

""Son esprit voyage à présent dans les méandres des Terre immortels, aux côté de Mandos."

Elessar se remit sur pieds, se soigna rapidement le genou et attendit que Faramir vienne lui faire un rappport du reste de l'armée, pour pouvoir entrer dans les mines.

Faramir se releva, avec un affreux mal de tete et une jambe bien entaillée. La première chose qu'il vu fut le Guetteur de l'Eau, gisant face contre terre, agonisant en silence. Son coeur se remplit de joie à l'idée que cette ignoble créature soit enfin punie pour ses crimes du passé. Toutefois, l'Intendant ne tarda pas à apercevoir autour de lui les visages sombres des soldats. Tous devaient avoir perdu un frère, un ami de toujours... aucun ne pouvait se réjouir de la victoire. Il en fut profondément touché, et encore une fois il maudit la Guerre et toute ses atrocités.

C'est alors que, ayant commencé à recouvrer ses esprits, Faramir aperçut Eowyn, son épouse bien-aimée, inconsciente parmi la boue provoquée par le combat. Oubliant totalement sa douleur, saisi par un affreux doute, le Fils de Denethor se précipita vers la Vierge Guerrière. S'étant agenouillée, il lui souleva délicatement la tete et demanda, l'air alarmé:

-Mon amour, par pitié, répondez-moi !

C'est alors qu'un soldat dont l'armure évoquait un cavalier d'Arnor se détacha des autres et, après s'etre incliné, déclara:

-Veuillez m'excuser, mon roi, mais une nouvelle d'importance vient de nous parvenir: les seigneurs Thranduil de Mirkwood et Celeborn de Lothlorien ont levé une grande armée d'Elfes Sylvains et marchent contre la porte Est de la Moria. On murmure que Beorn le Changeur et radagast le Magicien brun sont à leurs cotés. Quoi qu'il en soit, de violents combats ont éclatés à l'Est.

Des acclamations fusèrent parmi les hommes, heureux de cette nouvelle. Attaqués sur deux fronts par les Armées des Peuples Libres, les Gobelins seraient en faiblesse, et la campagne durerait beaucoup moin longtemps que prévu. Meme Dùrin le Dernier et ses gardes nains, qui pourtant détestaient profondément les Elfes, ne purent retenir un sourire.

Seul Faramir ne pretait aucune attention à la nouvelle. Il restait concentré sur son épouse Eowyn, guetant avec désespoir un mouvement, un simple clin d'oeil, qui lui montrerait qu'elle n'était pas trépassée. Comprenant que sa femme ne pouvait rester dans cette boue, Faramir la souleva et la transporta sur un tas d'herbes sèches, aidé de son ami de toujours Damrod, qui avait pansé ses blessures. En son coeur, il se maudissait d'avoir accepté que Eowyn se joigne à cette dangereuse guerre, qui lui avait peut-etre couté la vie...

Les yeux de Faramir ne cessaient de regarder Eowyn, alors que celle-ci était en plein état comateux. Sa vie défilait devant ses yeux : Les images de son oncle gisant sur le sol des champs de Pelennor ainsi que l’effroyable serviteur des ténèbres repassaient dans sa tête. Mais la jeune femme voulait vivre, elle ne souhaitait pas mourir ici alors que le combat avait à peine commencé. Entendant les paroles de son mari, Eowyn ouvrit lentement les yeux et elle aperçu le visage de celui-ci. Des larmes de joie se mirent à coulées de ses joues puis s’adressant à Faramir, la Vierge Guerrière prononça une simple phrase qui ravit le cœur de son époux:

« Je suis là ! » dit-elle avec un sourire au bout des lèvres.

Au même instant, un soldat qui était déjà présent prit la parole, puis s’adressa à Faramir :

« Monseigneur, excusez-moi…Le roi Elessar vous fait quérir ! »

L’homme repartit ensuite laissant quelques minutes à Faramir pour le rejoindre…

Le Guetteur de l'entrée de la mine avait été vaincu, des soldats de toutes races sautaient de joie à l'idée de pouvoir commencé la bataille dans les mines.
Mais cette bataille ne sera pas de tout repos, il nous faudra affronté les sombres profondeurs de la Moria et d'en sortir vivant ... avec un peu de chance.
Plusieurs soldats avaient péris sous l'acharnement de la bête, mais ils sont morts dans l'honneur. Aranor, suivit d'une dizaine Gondoriens recrutés après le départ du Roi et d'une partie de son armée.
Quand ils se rendirent vers l'entrée de la moria, Aranor vit un homme vêtu d'une tenue du Gondor tenant une femme blonde entre ses bras, elle paraissait affaiblit mais au même instant quand un Soldat vint quérir cet homme qui apparemment se nommait Faramir,
releva la femme, et la laissa après l'avoir serré contre lui une dernière fois dans ses bras.
Approchant du campement du Roi Aranor, vit plusieurs archers passé devant lui, quand allaient ils passés à l'assaut ?!

Arriver devant les troupes du Roi, il jeta un coup d'œil un peu partout, certains saignait abondament mais se tenaient prêt pour le combat, d'autres encore ne pouvaient en faire partit, cause de blessures graves.
Aranor se tourna vers ses hommes, tous portant une armure argentée et une épée bien aiguisée.

"Bien; allez faire aiguisé une fois de plus vos épées et revenez quand nous devrons partir dans ces mines."

Les soldats approuvèrent d'un signe de tête et partir vers les forges.

*Maintenant je dois rencontré le Roi pour lui faire part de mon arrivé, j'espère qu'il ne sera pas en colère que j'ai enrôlé d'autres soldats à Minas Tirith.*

Après avoir analysé plusieurs soldats blessés, et leurs avoir donné plusieurs conseils pour ne pas souffrir encore plus, il s'en retourna devant l'entrée des mines, la Lune était présente et les écrits scintillants des nains resplendissaient comme les étoiles.
Quand il se retourna, un Capitaine du Gondor lui faisait face, celui qu'il avait rencontré la veille à Minas Tirith et qui l'avait hébergé par la même occasion.

"Aranor !"

"Aerandir ! Toi aussi tu as été mobilisé ?"

"Oui comme toujours ! Et toi que fais tu ici ? Je t'avais dit que je te ferais rencontré le Roi."

"J'ai voulus participé à cette bataille qui est plus qu'importante dans notre lutte contre le mal."

"Fais comme bon te semble mon ami. Mais es tu venus seul ? Car les gobelins sont très nombreux !"

"Non j'ai par moi même enrôlé plusieurs hommes, une dizaines, cela devrait suffir en plus de l'armée de notre Roi qui est plus que suffisante, car comme des messagers l'ont dit, nos alliés attaques par la porte Est, et les gobelins ne gèreront pas assez longtemps deux assaults pour fuir, et qui plus est, mené en même temps."

"Tu as raison, bientôt notre Roi va donné le signal et la bataille pourra commencé mais je ne pense pas qu'elle durera longtemps."

"En effet ils seront plus que débordés !"

Les hommes ricanèrent en même temps, Aranor conclus la conversation et s'en alla retrouvé ses hommes, tous ce placèrent devant l'entrée.
Aranor était plus qu'éxcité à l'idée de chassé cette vermine de l'immense cité des nains de la Moria.

*Il n'y en à plus pour longtemps ...*

Le coeur de Faramir s'emplit de joie en voyant que son épouse bien-aimée était toujours en vie. Mais il n'eut pas le temps de répodnre qu'un soldat de Gondor s'avança et lui demanda de le suivre. L'Intendant de Gondor obéit à cet injonction, non sans avoir demandé à Damrod:

-Mon ami, prend soin d'elle en mon abscence. Nous nous retrouverons bien assez tot. Ne vous en faites pas, mon amour, vos blessures sont peu profondes.

Puis Faramir suivit le soldat jusqu'à Elessar, et lui demanda:

-Mon roi, que puis-je faire pour vous ?

Entretemps, une poignée de gueriers nains, Dùrin et ses fidèles gardes du corps, avaient entrepris de libérer l'entrée de la Moria. Celle-ci était en effet obstruée par divers décombres, notamment des rochers tombés de la falaise au cours du combat. mais soudain, au coup de pioche d'un des nains, les rochers s'effondrèrent tous d'un coup, laissant apercevoir la porte de la Moria, éclairée par la lumière de la lune en ce début de soirée. Un hurlement de joie déferla parmi les hommes...

HRP: dsl, pas d'inspi

Les portes de la Moria étaient à présent ouvertes. Tandis que la lune tombait sur l'Eregion, une odeur putride s'échappait des sombres mines. Un silence de mort régnait à présent au sein de l'Armée des Peuples Libres. Une peur sourde parcourait les rangs: fallait-il vraiment entrer ?

Les Nains se souvenaient de l'Erebor, des Monts du fer, et de toutes les forteresses pleines de trésors en tous genres qu'ils possédaient encore en Terre du Milieu. Pourquoi reconquérir ces cavernes de Terreur, surement vides de tout mithril depuis longtemps ? pourquoi rétablir sur son trone un roi de Khazad-Dûm auquel ils devraient toujours etre soumis ?

Les hommes de Gondor, d'Arnor et de Rohan se demandaient pourquoi ils devraient aider les nains, qui les avaent toujours regardé de haut. L'Age des hommes étaient arrivé, pourquoi cherché à retarder un peu plus ou un peu moins l'inéluctable décadence des nains ?

Les rares elfes de Fondcombe qui avaient rejoint les rangs de l'Armée des Peuples Libres suivaient le meme raisonnement que els hommes, mais dans un autre registre. Ils avaient toujours hais les nains, qui n'avaient pas hésité à voler le Silmaril au roi Thingol de Doriath avant de le massacrer. Avaient-ils donc un quelconque intéret à s'engager dans cette bataille incertaine ? C'est ainsi que trois officiers de Rivendell, parmi les plus valeureux, tournèrent soudain le dos à l'Armée Libératrice, à la bataille pour se présenter, honteux, devant Elladan et Elrohir, leurs seigneurs légitimes. Personne ne parut les apercevoir, tant l'entrée béantes des Mines fascinait les guerriers. Mais la plupart des elfes restèrent, car ils se souvenaient de leurs cousins de Lorien et de Mirkwood, qui en ce moment meme assiégeaient la porte Est de la Moria. Ils ne pouvaient pas les laisser tomber.

C'est alors que, parmi des milliers d'autres, un seul guerrier décida du sort de la bataille. Dùrin le Dernier s'avança d'un pas lourd, marqué par le doute, vers l'entrée des Mines. Tous les regards se posèrent sur le futur roi de Khazad-Dum qui, d'un seul pas, franchi d'un air résolu le seuil de la Moria. Il ne tarda pas à etre suivi par les Sept membres de sa garde personnel, les fidèles Zélotes, qui s'enfoncèrent dans l'ombre...

Cet exemple de courage motiva les guerriers, balayant d'un seul coup tous les doutes. L'envie de se battre, d'écraser les viles créatures qu'étaient les gobelins, avait resurgi soudainement. A la suite de Dùrin et ses Zélotes, huit guerriers passèrent le sinistre seuil des Mines: quatres hommes, dont un rohirrim et trois gondoriens, un hobbit armé d'une lance, sans doute venu ici par esprit d'aventure, un elfe Noldo venu de Fondcombe, en armure étincelante, et deux robustes nains des Montagnes Bleues.

La Bataille pour la Moria venait de commencer...

LANCEMENT DU SCENARIO

Eowyn et ses soldats étaient postés au pied des Mines, quand Dùrin le Dernier s’avança en compagnie de ses fidèles guerriers, disparaissant peu à peu dans l’ombre des Mines.
Les yeux des autres chefs présents le suivirent du regard puis s’engagèrent à leur tour, inspectant avec prudence le sol caillouteux des Mines. Il faisait noir et les guerriers arrivaient à peine à se distinguer, quand soudain un bruit venant des profondeurs effraya les hommes.
A cet instant, Eowyn put apercevoir le visage de Faramir à qui elle adressa un dernier sourire. Elle se retourna une dernière fois en arrière pour apercevoir la lumière du jour, puis d’une voix froide et sèche elle prit la parole s’adressant aux rohirrims :

« La bataille approche ! Surtout ne vous dispersez pas, restez en groupe…Que la chance soit avec vous ! »

Le bruit retentit à nouveau, et cette fois-ci il était plus proche que le précédent. Après quelques instants, des flèches commencèrent à voler emportant la vie de nombreux guerriers sur leur passage…

[Désolé, l'inspiration n'était pas au rendez-vous ^^]

Alors que les premier guerriers franchissaient le pas de la porte, une pluie de flèches noires et empoisonnées s'abbatirent sur eux. Une dizaine de guerriers furent fauchés, principalement des Humains sur le coup. Certains paniquaient, couraient vers la sortie avant d'etre atteints par les traits mortels. Seul Dùrin et ses Zélotes ne cédèrent pas à la panique. Ils formèrent un mur compact de boucliers, derrière lesquels vinrent se réfugier des Gondoriens et des Rohirrims, apportant leurs propres boucliers. Bientot se forma une véritable tortue de boucliers, hérissée de flèches.

Soudain, la lumière de la lune passa la porte de la Moria, révélant une centaine d'archers gobelins dispersés sur les escaliers, entourés par une vingtaine d'épéistes et de lanciers bardés d'armures. Certains avaient montés des barricades avec les os des nains et des débris de murs, et s'y plaçaient pour mitrailler les envahiseurs. Le bruit du combat avec le Guetteur les avaient prévenus, et ils avaient eu tous leur temps de préparer l'embuscade. toutefois, ils ne pouvaient repousser éternellement les guerriers des Peuples Libres: leur objectif était de les retarder le plus longtemps possible, tandis que leurs collègues de la Porte Est en finissaient avec les Elfes.

A la vision des archers ennemis, vulnérable un fois les épéistes abbatus, la "tortue" de boucliers se mit soudain en mouvement. Dans un bruit sourd qui résonnait dans les galleries, les innombrables pieds de la tortue s'approchaient des gobelins, prets au massacre. Les viles créatures s'affolèrent, et une grelle de flèches s'abbatit sur les guerrers protégés par leurs boucliers. L'un d'entre eux fut blessé aux jambes par une flèche, et s'effondra. Mais la brèche que sa disparition causa fut ausitot colmatée, tandis que le blessé était placé au centre de la "tortue" par ses collègues.

Evitant les flèches, Faramir venait de pénétrer dans la Mine. Apercevant la scène, il hurla en sortant son arc:

-Archers, couvrez-les ! Vite !

Tandis que des Rodeurs ainsi que des archers Rohirrims prenaient position autour de lui, Faramir eut le temps de tirer trois flèches. Deux gobelins s'effondrèrent, frappés à mort, alors qu'un troisième, blessé, battait en retraite...

Tandis que plusieurs nains menés par leur chef Durìn le Dernier, pénétrèrent dans la mine, des rôdeurs et des rohirrims rentrèrent à leur tour, Faramir en première ligne, entouré d'archers et de guerriers, foncèrent vers les archers et soldats Gobelins.
Les hommes n'avaient que trop attendus ce moment pour faire demi-tour, maintenant ils se devaient affronté les ténèbres de la Moria.
Les quelques soldats qu'Aranor avait enrôlé étaient prêts au combat. A présent, Aranor qui se tenait devant la porte scrutait l'obscurité où plusieurs corps, la plupart de Gobelins, ce fut le résultat de l'attaque des premiers hommes qui ont pénétré dans ces mines.

"Hommes du Gondor, suivez moi, et chassons ces bêtes immondes dans les abysses !"

Un cri de guerre des hommes retentit, tandis qu'un haut-le cœur les parsemaient tous, mais à présent, leur courage était sans failles, la peur avait disparue de leurs visages.
Se tournant et faisant face aux mines, Aranor dégaina son épée, la tenant bien fortement, il s'élança en courant, suivis de plusieurs soldats du Gondor, tous hurlant, le cœur battant à tout rompt.

"POUR LES PEUPLES LIBRES ! HAAAA !"

Ayant traverser la première chambre, Aranor et ses vaillants guerriers apercevaient à présent une multitude de Gobelins, accompagnés de deux monstrueux trolls.

"Ne faiblissez pas mes frères !"

Sans relâche, Aranor accourut vers les premières lignes de hallebardiers Gobelins. Evitant leurs lances d'un coup d'épée, il perça leurs lignes, s'en suivit un combat acharné qui fut victorieux mais sans pertes, les deux trolls faisait désormais face aux Soldats du Gondor, qui furent pour le tiers, écrasés, déchiquetés, et mêmes lancés dans les profondeurs.
Jusqu'au moment où un valeureux guerrier s'agrippa au dos d'un des deux trolls pour lui asséné un coup fatal, puis le second fut assaillis de toutes parts et ne résistant point, il fini par tombé.

"Nous n'avons même pas fait la moitié du chemin, mais nous vaincrons, atteignons le pont de Khazad-Dum et finissons cette bataille au plus vite !"

Arrivé à l'embranchement de trois gigantesques portes, un bataillon de Gobelins construisait plusieurs remparts aux emplacements des portes, par chance, les soldats menés par Aranor arrivèrent à temps pour les en empêchés.

"Vite ! Arrêté cette vermine !"

Dans le combat, plusieurs hommes tombèrent, mais leur courage ne faiblit point, et ils en sortirent victorieux, montrant le chemin à suivre, Aranor et ses guerriers prirent le chemin de la porte centrale, et s'enfoncèrent de plus en plus dans la pénombre.

[Je manque d'imagination Crying or Very sad

]

Tous les guerriers avaient à présent emprunté le chemin ouvert par les soldats d'Aranor. Depuis le début de la bataille, les guerriers n'avaient cessé de se battre et ce moment de répit ne fit pas de mal à ceux-ci.
Tous marchaient en direction de la porte, quand un bruit strident sortit des profondeurs de la mine, parvint aux oreilles des guerriers. Plus ils avançaient plus le bruit se rapprochait. Se retournant vers le capitaine et ses soldats Eowyn ajouta tout en scrutant les parois de la mine :

« A partir de maintenant restez sur vos gardes. Vous allez vous séparer en deux groupes : Je veux les archers derrière et les épéistes devant ! »

A peine avait-elle fini de parler que tous s’immobilisèrent devant une gigantesque porte. Par prudence un éclaireur l’ouvrit se préparant à affronter les assaillants, mais il n’en fut rien.
Après quelques instants, ils pénétrèrent dans un magnifique hall sculpté à la perfection par les maîtres nains de jadis. Tous les yeux se tournèrent alors vers Dùrin et ses Zélotes, qui bien qu’il ne le montra point, fût submergé d’une immense tristesse.
Hélas dans cette guerre il n’y avait pas de place pour les sentiments et alors que tous regardaient Dùrin, il leva sa hache puis sans même attendre les autres guerriers, partit au combat. Effectivement devant eux c’était formé un troupeau d’Orc et de Gobelin, armés de longues et puissances épées.
Tandis que tous suivaient Dùrin et ses Zélotes, Eowyn ordonna à ses archers de tirer une première volée, ce qui brisa les premières lignes de ce troupeau. Elle n’eut pas le temps d’ordonner une autre volée que les Orcs et Gobelins avaient déjà riposté. Tout ce qu’elle pu dire fut :

« A couvert ! Protégez-vous avec vos boucliers ! »

Mais il était trop tard. Les flèches avaient déjà percée le corps de nombreux de ses soldats, qui gisait sans vie sur le sol…

Le prince d'Imlardis avait hésité longtemps avant de faire rassembler tous ses soldats, dont le nombre était affreusement peu élevé. En effet, après l'entrevue que Glorfindel avait eu avec le seigneur de Gondor, Elessar, celui-ci n'était pas revenue. Quelques jours plus tard, un des derniers habitants de la Lothlorien vint leur apprendre une terrible nouvelle, leur seigneur avait été prit en embuscade par une éscouade orque avant de pouvoir mettre un pied dans le forêt noire.Elrohir porta le deuil de son seigneur fort peu longtemps, car il fallait prendre une décision, l'armée elfique irait elle encore une fois en guerre ?

Elrohir, désormais prince et seigneur de la cité, était cerains que si certains elfes étaient restés en Terre du Milieu, c'était avant tout pour combattre et aider les peuples qui y vivaient. Il fit donc préparer l'armée dans les plus brefs délais, et un matin d'automne assez frai, il enfourcha son étalon blanc pour galoper avec ses guerriers vers la porte est des anciennes mines naines. Son plan était simple, ou en tout cas le paraissait-il. En sachant que les forces alliés, qui avaient pénétrés depuis longtemps la Moria, devait attirer le gros des forces gobeline, les elfes pénètreraient sans résistance à travers leur sombre refuge et ainsi les deux forces alliés les prendront en étau pour exterminer le vermine du joyau nain.

Ils galopèrent longtemps, aussi rapide que des aigles, et aussi silencieux et discrets que des fantomes, porteurs de lumière et de bonheur. Le voyage fut court et il n'entamèrent pas même une bribe de leurs provisions. Ils arrivèrent devant la porte, immense trou béant sculpté dans les pieds de la Montagne elle même, et Elrohir resta un instant à contempler l'entrée d'un de ses joyaux milénaire de cette Terre. Enoriel, un de ses fidèle soldat et éxellent ami vînt à lui.

"Monseigneur, vos soldats ont tous hâtes de rendre enfin l'œuvre ancestrale des nains à leurs descendant."

Elrohir se tourna vers ses Hommes, qui étaient tous descendus de leur monture, et attendant les ordres des princes. Il regarda son frère dans les yeux, et parla pour eux deux.

"Mes amis, voici venu l'heure de prouver au mal que jamais rien ne tiendra fasse aux derniers elfes ! L'immortalité vous attends ici mes amis ! Car c'est dans le coeur de nos frêres d'armes qu'à tout jamais, nous vivrons !"

Sur cette bonne paroles tous les elfes levèrent leurs armes vers le ciel et s'élancèrent, Elrohir à leur tête, dans la sombre cité qui bientot retrouveras sa gloire d'antan.

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